Le corps d'après et La nuit infinie des mères de Virginie Noar, éditions François Bourin.


Dire le corps des femmes.

Sans détours ni tabous ni fausse pudeur.

La réalité crue et dénudée du corps.


Dire le corps qui a peur, le corps qui tremble,

Dire le corps qui s’amuse et s’épanouit.

Dire le corps caresses, délices, qui frissonne et qui jouit.

Le corps rempli de l’autre.


Dire le corps qui souffre, la douleur, le souffle.

Ou encore le corps puissant qui donne la vie.

Le corps déchiré et hurlant qui enfante.

Le corps vide et le nouveau corps, à côté…

Le corps servant, exténué, extension d’un autre.


Le corps entier, recousu, reconstruit, réapproprié.


Deux romans qui vous remuent l’intime et le déversent à vos pieds.

Mais aussi deux romans qui font vibrer ce magnifique, splendide corps qui est le nôtre !


Sabrina, absolument fan aussi des couvertures de ces deux livres.